On entend souvent les décideurs déclarer que les projets décisionnel de Performance Management (Prévoir, Simuler, Reporter) ne concernent que les grands groupes. Et pourquoi les PME n’auraient pas besoin d’un outil décisionnel? Au contraire, ce sont elles qui en ont souvent le plus besoin. Cependant, elles voient parfois certaines barrières à leur digitalisation… On lève ici 3 inquiétudes principales :
C’est vrai, une DSI, ça aide. Mais aujourd’hui, avec le cloud, tout le monde peut s’offrir des services d’un outil décisionnel ad hoc et personnalisés. Quand l’infrastructure est délocalisée, il ne reste plus qu’à s’occuper des données.
Aujourd’hui, les solutions décisionnelles sont souples et administrables/paramétrables par n’importe quel opérationnel, du commercial à l’acheteur, en passant bien évidemment par le contrôleur de gestion. Elle s’ajuste à vos business models qui sont forcément évolutifs (sinon on s’ennuierait 😉 ) et vous écrivez vous-même les règles de gestion. Vous avez appris Excel ? Vous maîtrisez le RECHERCHEV, vous maîtriserez les solutions! Un exemple d’une règle dans une base de données multidimensionnelle bien connue du marché : [‘Prix Moyen’] = [‘Ventes’]/[‘Volumes’] .
C’est cher
LES LICENCES
On peut aujourd’hui s’offrir les solutions pour des budgets annuels inférieurs au coût d’un stagiaire bac + 5 !
LA MISE EN ŒUVRE
La taille d’un projet dépend de vos besoins. Un projet peut aller de 5 à 2500 jours de développement. Si vous ne souhaitez pas vous ruiner, il faut se focaliser sur l’essentiel.
Exemple vécu : Doit-on réellement prévoir un module de calcul des dotations aux amortissements dans une société de services, si le seul réel projet qu’on ait, est d’acheter le siège ?
Dans ce cas-là, Excel suffit bien… Cependant, piloter sa masse salariale est essentiel. Il faut donc faire des choix et les inclure dans son ROI…
Voilà le sujet essentiel, qu’est-ce que le ROI ?
La sérénité des équipes, ça n’a pas de prix. Vous avez un babyfoot et un masseur pour le bien-être des équipes ? Tuer les tâches rébarbatives et pénibles peut-il faire partie du bonheur au travail ?
Le coût salarial caché :
Le stagiaire Bac + 5 ne restera pas, il s’ennuie à faire des recherchev (Oui oui, toujours les mêmes). Vous avez passé deux semaines à tout lui expliquer, je vous laisse faire le calcul :
(2 semaines de votre salaire chargé) / 12 * le nombre de mois de présence du stagiaire + le salaire du stagiaire chargé * le nombre de stagiaires occupés à des tâches de production sans valeur ajoutée.
Car oui, un stagiaire peut mieux faire que du tableur, il aura peut-être même de bonnes idées !
Prenez les salaires du CODIR et multipliez-les par le temps perdu à chaque réunion en palabres pour savoir quel est le « bon » chiffre d’affaires ou si la baisse de ce dernier est liée à un effet « devise » ou à un effet « volume » ? Si le paper board est de sortie, vous êtes cuits…
Le temps que vous passez à faire des analyses ad hoc, à reconstruire vos fichiers bureautiques, à construire vos rapports institutionnels… Je vous laisse faire la liste, elle vous est propre. Vous accumulez et vous multipliez par votre salaire chargé. N’oubliez surtout pas de compter le jour où votre DG vous a demandé de simuler en deux jours l’impact de la hausse du prix du baril sur son P&L… Ne pensez-vous pas que vous seriez plus utile à négocier avec les banques ? Ou à chercher des solutions pour utiliser moins de gazole ?
Rater des opportunités !! Un exemple simple : et si les commerciaux pouvaient simuler la marge en entrant simplement un taux de remise ? Si, avant leurs rendez-vous, ils savaient quelles sont les données exactes de leurs clients ? Sur quoi mettre l’accent ? Quels produits sont les plus rentables (et pas forcément les plus vendus) ? …
Prêt à adopter votre outil décisionnel ?